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Plongée aux origines

 

 

 

Conscience, vous avez dit conscience ?.... Le Dr. Alfonso Caycedo, neuropsychiatre, fait ses débuts à l’Hôpital Psychiatrique Provincial de Madrid lorsqu’il découvre les méthodes de traitement brutales (électrochocs, comas insuliniques, etc.) alors pratiquées et les niveaux de conscience différents que cela induit. Surpris de ne pas les avoir approché au cours de ses études de médecine, il décide de se consacrer à l’étude de la conscience et à la recherche de thérapies plus douces.

 

Une discipline ?...  La sophrologie  voit le jour en 1960 d’après les racines grecques « sos », « phren », « logos » pour l’étude de l’équilibre de la conscience… En d’autres termes, comment être plus attentif à notre façon d’être et au monde qui nous entoure.

 

Sans frontière?... Créée en milieu médical, la sophrologie a rapidement reçu un accueil chaleureux dans le milieu pédagogique et préventif.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La sophrologie se nourrit des rencontres et voyages de son fondateur.

 

D’abord, l’hypnose thérapeutique dont il se distancie par après et les techniques de relaxation occidentales comme « l’Entraînement Autogène» de l’allemand Schultz et la relaxation neuromusculaire progressive de l'américain Edmund Jacobson.

 

Une forte imprégnation philosophique : la phénoménologie ou comment accueillir ce qui est sans jugement ni apriori. Elément clé de la sophrologie qui va consister à laisser émerger les sensations physiques et les sentiments qui se vivent pendant la séance sans les censurer ou les juger.

 

Des escales orientales d’où nous reviennent une conscience accrue du corps, des exercices et des postures inspirées du yoga, du bouddhisme tibétain et du zen japonais.

 

Un apparent méli-mélo qui se révèle être une méthode en avance sur son temps puisqu’elle répond aujourd'hui aux dernières découvertes et avancées des neurosciences.

Découverte d'un jeune médecin

 

 

Sophr’horizons : une identité aux mille facettes

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